Salut
Bon j'ai été un peu long pour pondre ce (trop?) long résumé,
il doit aussi y avoir un tas de fautes aussi bien de grammaire, de frappe ou
d'orthographe (pas trop eu le temps de me relire), mais je l'envoie quand même!
L'an dernier j'avais fait le raid "hors classement" avec fabrice,
jean paul, et eric. On était 4 sans personne pour l'assistance, donc
en fait seulement 3 volaient et le quatrième mettait son paramoteur dans
la remorque pour faire l'assistance (d'où le nom de l'équipe),
et on se relayait chaque demie-journée pour changer le pilote de la voiture
qui transportait aussi l'essence (nous on préfèrrait choisir un
champ pratique pour redécoller plutôt que près d'une station)
Cette année, on s'était dit qu'on ferait pareil, mais fabrice
ne pouvait pas venir. Donc on a proposé de le remplacer par un autre
gars de atlantic paramoteur qui n'avait pas encore d'équipe. Le "Hic"
c'est qu'une partie de l'équipe à proposé cela à
jean-loup, et en même temps une autre partie l'a proposé à
hassan...
Qu'à cela ne tienne, on a fait une équipe de 5, en gardant le
principe de relais pour la voiture d'assitance. Et en plus on s'est retrouvé
avec 2 autres véhicules accompagnateurs pour les familles d'eric et hassan.
Samedi après-midi, tout le monde se retrouve sur le terrain pour finir
de préparer son matos. L'équipement de mon équipe est le
suivant:
Eric : PAP top80 1300 + ADG Taïga.
Hassan : PAP top80 1000 + ITV proxima rouge avec réservoir perso plus
grand pour plus d'autonomie
Jean-paul : PAP corsair 1100 + ITV proxima rouge avec réservoir perso
plus grand pour plus d'autonomie
Jean-loup : PAP top80 1400 + ITV tomahawk jaune Moi : Miniplane top80 (helice
125) + ITV polaris blanche (idéal pour que les autre ne sachent jamais
ou je suis...)
Jean-paul nous quitte pour préparer le repas du soir pour tout le monde,
alors qu'alain me donne les derniers papiers concernant les attérissages
à angoulème et st blancard. Puis ludo nous fait le briefing de
la soirée, rappelant le principe et les règles du raid. Avant
d'aller prendre un bon repas en regardant les vidéo du raid et des folie's
de l'an dernier.
Dimanche matin, petit déj rapide sur le terrain, positionnement du matos
sur la ligne de départ. 8 heures moins dix, j'aide mes co-équipiés
à finir de se préparer, mais ils n'ont vraiment pas l'air préssé.
8H pile seulement un tiers des pilotes ont quittés leurs machines pour
aller sur la ligne de départ (style 24H du mans), ça gueule un
peu pour faire venir les gars pour que l'on puisse prendre une belle photo.
8Heures et des broutilles : le départ est donné et on court vers
les machines (enfin... beaucoup marchent tranquillement: le paramotoriste n'est
jammais pressé!).
J'aide mes coéquipiers à finir de se préparer et étaler
leurs voile, je vais m'équiper aussi, je jette un coup d'œil au
GPS : il s'est éteient tout seul! Je le rallume : "Batterrie faible"!
Bizarre, hier elles étaient à mi-charge.... Bon, l'équipe
n'est pas encore partie, alors je file chercher deux pile neuves dans la voiture,
et je me prépare à décoller. Gonflage face voile, Gaz et
c'est parti! Je ne vois pas le décollage de Hassan, mais j'ai appris
après qu'il avait fait le spectacle en partant avec une clef dans un
frein ce qui l'a fait passer vent de cul très près des hangar.....
Une fois toute l'équipe en l'air, je regarde le cap à prendre,
et à ce moment là je vois sur l'écran de mon gps : "piles
faibles"..... Bon, donc nav sans GPS, mais on est 4 alors s'est pas grave....
Avec jean-loup je traine un peu au raz des paquerette, tandis que hassan et
jean paul montent allègrement car on supposait un vent plus fort en altitude.
Hassan nous dis qu'il fait du 30km/h à 500m, et jean-loup lui répond
qu'il va aussi vite à 200m, mais comme il a une voile plus rapide, il
devrait aller plus vite, donc c'est que le vent est plus favorable plus haut.
Donc gaz et on monte, mais le GPS indique que notre vitesse diminue alors on
redescent et on demande confimation pour la vitesse en altitude. Jean paul confirme,
alors on leur demande de monter encore plus pour voir, et ils nous disent qu'ils
accélèrent. Donc on monte en ralentissant jusqu'à 10km/h/sol
pour finir par reprendre de la vitesse, mais nos deux compères se retrouvent
très loin devant. Alors je détrimme et leur demande de rester
trimmés pour nous attendre. Et je file à plus de 50km/h en doublant
un tas d'équipes qui sont restées près du sol en voyant
leur vitesse diminuer avec l'altitude.
Après plus d'une heure on fini par rattrapper les deux proxima rouges,
et on continue à vive allure vers angoulème. A un moment hassan
demande où on est par rapport à lui. Pour moi jean paul est derrière
et hassan devant, alors je lui dit qu'on est derrière lui, et jean paul
ne me contredit pas, donc c'est parce qu'il est derrière (erreur!). En
arrivant à benet (avant niort), hassan nous dit qu'il arrive en fin d'autonomie,
alors je choisi de poser près de la nationale en sortie de ville dans
un champ moisonné. Le "hic" c'est que paul qui était
devant, et hassan s'est fait distancé. Et donc il se pose ailleurs et
on perd le contact radio sans savoir où il est...On essaie au tél.
: il n'est pas allumé.... En principe, c'est moi qui doit prendre la
voiture, mais jean paul apréhende les thermiques que l'on rique de trouver
en fin de matinée, alors il range son paramoteur dans la voiture, pendant
qu'on refait le plein et part ensuite à la recherche d'hassan.
Le vent est trop faible pour repartir face à la voile, mais les premiers
thermique ammènent régulièrement un petit souffle supplémentaire.
Eric se prépare dos à la voile, tandis qu'avec jean loup on se
prépare face à la voile. J'attend patiemment la bouffe de vent
qui va me permettre de gonfler pendant qu'éric loupe un premier déco
et réétale sa voile. Le vent commence à se lever un peu,
j'en profite pour prégonfler ma voile et bien l'étaler, le vent
rebaisse un peu, puis remonte franchement, c'est parti, je tire elle monte bien,
je me recentre un tout petit peu, me retourne en vitesse sans attendre, et GAZ!
Jean loup n'est pas parti, en fait il a réussi à gonfler, mais
son moteur a calé (on saura pourquoi une fois arrivés à
st blancard....). Eric réussi à décoller, et on tourne
au dessus du terrain en attendant. Je vois jean loup s'obstiner face à
la voile, alors que le vent est trop faible et rater plusieurs déco en
se fatiguant avec la chaleur qui monte. Finalement après 20-30 minutes,
jean paul a récupéré hassan dans la voiture (il ne vont
pas faire ce vol), et jean loup est HS et partira après un peu de repos.
Donc on est parti pour angoulème mais on risque d'être juste en
carburant. On monte tranquillement pour essayer de quitter ces petits thermiques
et voler tranquilement au dessus de la couche d'inversion à + de 1000m.
A la radio, on apprend que jean-loup a fini par redécoller et nous suit
avec + de 30km de retard. On continue en montant encore + car le sommet des
thermiques est en train de monter: 1400m (1800 au max pour moi mais je suis
vite redescendu car j'avais les doigts gelés malgré mes gants).
A 20-30km d'angoulème, Eric demande à poser près de la
ville qui est sous nos pied (rouillac) pour refaire le plein sans attendre l'assistance,
car notre demi-heure
de vol local a trop entamé son autonomie pour pouvoir rejoindre angoulème
sereinement. Un long moment de descente ou aux oreilles plus tard, je pose dans
ce petit fond de vallée près du super U, et je suis rejoint plus
tard par éric qui n'a pas fait les oreilles. Première constation
: c'est pas qagné pour repartir! En 5secondes (un bouchon et un scratch)
le réservoir du miniplane est dans mes bras, je prend ma petite fiole
d'huile pour 5l d'essence (pour deux), et on va à la pompe. A mi-chemin,
une voiture s'arrête pour nous proposer de l'aide : c'est un paramotoriste
du coin qui nous à vu atterrir et qui pense qu'on est en panne! On le
rassure, et on lui parle du raid et d'aéroptère qu'il ne connaît
pas, puis on se quitte. De retour aux machines pour transvaser quelques litres
de carburant dans la machine d'éric, l'assistance appelle au téléphone
: "vous êtes où?". En fait l'assistance est en train
d'arriver à la station essence que l'on a quitté quelques secondes
plus tôt. Jean loup est en train de passer pas très loin et file
directement vers angoulème (pas bessoin de poser pour lui car il est
parti avec un réservoir plein)! On en profite pour grignoter une barre
de céréale, et on se prépare pour le déco le + chaud
de notre raid : petit champ en fond de vallée, déco en côte
et sous le vent d'une grosse coopérative agricole (pas "trop"
près quand même...) de plus les thermiques commencent à
bien s'installer. En observant 2-3 cycles, on remarque que le vent est faible,
puis il se lève un peu sur la droite du terrain (champ de maïs de
2.5m de haut...), monte encore, tourne dans l'axe pendant 2-3 minutes, puis
baisse en tournant de l'autre coté (champ labouré). Il faut donc
attendre le bon cycle, et partir sans perdre de temps dès qu'il est dans
l'axe (gonflage face à la voile). Eric part en premier : nickel! Je part
dans le même cycle en évitant son sillage, et prend immédiatement
une bonne altitude qui nous ammène hors de portée des turbulences
de la coopérative agricole : merci les thermiques! Ensuite un vol un
peu turbulent ( normal c'est déjà le début de l'après-midi,
et la convection est bien installée...) mais on garde le contact avec
la voile, on amorti les mouvement de tangage et de roulis, et tout se passe
sans soucis!
En arrivant à angoulème, on a eu l'impression
d'être des stars internationales tellement il y avait de photographes
qui nous mitraillaient! Jean loup aussi est là depuis ne demie-heure,
avec un attérissage parait-il pas très propre: accrochage de la
poignée de gaz dans le filet pendant l'arondi, donc impossible de relever
le frein, et donc il se fait tirer par la voile sur le coté, et trébuche
un peu.... Mais pas de bobo! L'assistance arrive aussi, On va voir le mot de
passe au pied de la manche à air, et pierre nous donne notre témoin
de passage (ça aurait été plus adapté si l'étape
était à condom...;-), j'en profite pour livrer les chenilles de
pierre (au fait, elles volent bien?) qui ne manque pas de faire le malin devant
les appareils photo, pour faire comprendre que "la sienne est plus grosse
les autres!" (cf. canulars téléphoniques de lafesse) Si un
photographe à une photo de LA chose, qu'il n'hésite pas à
la publier ici! ;-)
Puis déjeuner bien mérité, et sieste réparatrice
pendant que l'on voit quelques autres équipes arriver et aussi repartir...
Plus tard, je range mon matériel dans la remorque tandis que jean paul
et hassan sortent leurs machines. Et on décide de partir vers 7h quand
les thermiques seront bien calmés pour un dernier vol avant la tombée
de la nuit.
Au moment de partir, jean paul démarre son moteur, mais il fait un drôle
de bruit, et jean loup n'arrive pas à démarrer le sien! Une demie-heure
plus tard mes coéquipiers quittent finalement le plancher des vaches
: l'hélice de jeanpaul était en train de se déserrer, et
pour jean loup, on ne sait pas vraiment (allumage ok, et arrivée carburant
ok), mais c'est parti...!
Bon, là je ne vais pas vous décrire les virages
sur la route, mais j'ai filé vers montpon ménestrol où
je devais essayer de reprendre contact avec l'équipe pour savoir si ils
se posaient dans la vallée de l'isle ou celle de la dordogne en fonction
de leur autonomie... En arrivant vers montpon, je capte jean paul qui annonce
qu'ils se posent, mais je ne réussis pas à savoir où. En
arrivant à montpon, le téléphone sonne : il sont à
5km sur la route de ribérac et ont fait un vol hyper calme avec un vent
favorable. En fait ils sont dans un pré et discutent avec le fermier
qui nous propose de rester là pour dormir! Et va mettre ses vaches dans
le pré d'à coté. Bon il commence à faire nuit, et
il faut faire attention à là où on met les pieds et les
tentes, car les bouzes ne manquent pas.... (forcément puisque c'est un
pré) S'en suit, un petit dîner sympa, puis viens le moment de choisir
l'heure du réveil! On estime que deux vols de deux heures suffisent pour
arriver à destination, il ne faudrait pas arriver après midi (thermiques...)
donc 2 fois 2 heures de vol plus un pose de une heure pour le ravitaillement,
ça fait décollage au plus tard 7H, et donc réveil à
6H. Mais je préfèrre qu'on se lève à 5H car si on
a le moindre problème , on devra attendre le soir pour arriver à
st blancard.
Et j'ai eu raison : réveil à 5 heure, petit déj, rangement
du matos, repérage du vent et du terrain, changement de pré pour
aller dans celui d'à coté (lignes électriques trop proches),
préparation des moteurs et des voiles, et on est tous en l'air à....7H!
Au bout de deux heures de vol tranquille mains sur les genoux
à regarder le paysage, jean paul demande à poser. On est entre
l'aiguillon et damazan,entre la garonne et le canal, je voit un gravière
facilement repérable avec des champs moisonné à coté
(le terrain est forcément horizontal), je l'indique à mes coéquipiers,
et jean paul me répond : "oui, à coté de la baleine!"......????!.....
en fait la baleine était juste une une pelle à câble qui
lançait son godet dans un des lacs artificiel de la gravière,
en faisant une énorme gerbe d'eau! ;-) Tout le monde se pose sans encombre,
et on attend la voiture qui est en retard, car elle à du faire le plein
des bidons d'essence.... Une heure plus tard, on ravitaille, hassan remplace
jean loup dans la voiture, et on redécolle vers st blancard vers 10H30
(non sans quelques soucis de démarrage pour jean loup). On avance pas
aussi vite que prévu, et on craint de ne pas réussir à
rallier st blancard en un seul vol. On monte haut pour éviter les premiers
thermique et grapiller éventuellement quelques km/h, et on vole tranquillement
mains sur les genoux. En arrivant, à auch, jean loup dit : "je vois
un lac au loin, ce serait pas celui de st blancard?" Je répond que
j'en doute car on est encore trop loin, mais visiblement ma radio commence à
être déchargée car personne ne m'entend (idem l'an dernier).
Quelques minutes plus tard, alors que l'on dépasse auch, jean paul annonce
que ça brasse trop, et qu'il va se poser (idem l'an dernier, mais c'était
fabrice), au début personne ne comprend car on vole détrimmé
commandes lachées sans le moindre soucis, mais immédiatemment
après on retrimme vite, et on reprend les commandes rapidement car effectivement:
ça brasse!
Mes collègues (eric et jean loup) décident de laisser hassan récupérer
jean paul, et de filer vers st blancard sans attendre car on est limite en carburant
(de toutes façon jean paul ne pouvait pas aller au bout avec ce qui lui
restait), et si on pose maintenant, après il faudra attendre ce soir
pour repartir. On ne peut plus monter au dessus des thermiques, alors on reste
dedans, et on profite de ces ascenseurs un peu turbulents mais gratuits pour
grapiller un peu d'autonomie. En approchant, j'entend jean loup dire qu'il voit
le lac, mais comme tout le monde, il se trompe de lac, car on ne voit celui
de st blancard qu'un peu plus tard. Le vent météo est devenu de
travers, et on vole bien en crabe, mais encore à 40-50km/h de moyenne.
Je vois jean loup loin devant qui commence à descendre, j'ai l'impression
d'être
aussi suffisamment haut pour arriver au terrain, alors je ralenti, et éteint
le moteur par inadvertance en appuyant le bouton sur les élévateur...
Tant pis ça devrait aller quand même.... Je vois jean loup se poser,
mais pour moi ça ne vas aller, alors, j'attrappe le ficelle du lanceur,
un peu gaz, je tire ça redémarre tout de suite (ps: j'adore le
top80 à ce sujet). En fait je me suis laissé dériver sous
le vent du terrain, et les derniers mètres se font assez lentement (d'où
mon erreur au sujet de ma finesse). Et finalement un nouvel atterrissage de
star avec un tas d'appareils photos braqués sur moi, et un tonnerre d'aplaudissement!
Et pour finir Eric se pose aussi un peu plus en arrière du terrain dans
les herbes hautes, mais un posé bien propre quand même, lui aussi
sous les applaudissements du public.
Voili voilou. "On l'a fait" en une journée et demi, avec une
dizaine d'heures de vols et plein de bons souvenirs!
Mais tout l'équipe n'est pas encore là! Jean-paul m'appelle: il
a atterri sans bobo, et attend que hassan le retrouve, pendant ce temps, les
deux autres véhicule accompagnateurs arrivent, et on prend tranquillement
l'apéro. Plus tard on apprend que hassan a réussi à faire
un tour complet de auch avant de retrouver jean paul, et qu'ils sont tranquilement
en train de manger à auch sur terrasse ombragée. Ensuite, jean
paul a laissé hassan dans un champ en sortie de auch pour qu'il puisse
finir en vol dans la soirée, puis il nous a rejoint à st blancard
en voiture. Dans la soirée, le vent est encore assez fort, du coup j'ai
la flemme de décoller pour faire un vol en local scotché face
au vent... Toutefois hassan et quelques équipes arrivent avant la nuit
en volant en crabe.
Puis c'est le rendez-vous incontournable du raid : Le dîner chez werner
au "Canard fou"! On ne sait pas comment il fait, mais il nous sert
tout le temps des plats originaux et délicieux (avec un remède
miraclepour le "gras" ;-), à cela s'ajoute une super ambiance,
où tout le monde se raconte ses anecdotes de vol pendant le raid, bref:
un pur plaisir!
Les jours suivants, on vole régulièrement matin
(souvent pour des navs) et soir (plutôt des vols locaux ou des petites
navs), et on accueille avec joie les nouveaux arrivants du raid.
Parmis ces navs, il y en a une où on a rejoint les pieds des pyrénées
à 7 (avec retour en voiture) avec un superbe panorama, et surtout un
magnifique accueil à l'arrivée (atterrissage improvisé
au sud de lannemezan), avec un type super sympa et curieux, qui nous a offert
un bon café chez lui pour discuter avec nous.
On avait aussi prévu de faire le tour du pic du midi en vol, mais ce
matin là il y avait de l'orage sur les pyrénées.....
Il y a aussi eu un vol sympa où on a pu passer au dessus des nuages et
admirer encore une fois le paysage spectaculaire que cela représente
d'être au dessus d'une mer de coton!
J'ai aussi fait quelques vols locaux assez sympa autour du lac, et j'ai même
volé plusieurs fois avec la queue du marsupilami!
Et comme les après-midi à st blancard ne sont pas trop "volables",
certains en profitent pour faire aussi de la mécanique : jean paul a
changé la courroie de son corsair : elle a du se détendre suite
à l'épisode de l'hélice désserrée à
angoulème, et elle a changé de gorge! Du coup elle à frotté
contre l'hélice pendant le dernier vol CQFD.
Et jean loup à trouvé aussi la raison de ses problèmes
de démarrage: problème de gommage, d'où un problème
de compression qui empêchait le moteur de bien démarrer. Donc une
bonne petite séance de nettoyage du piston et du segment, et c'est reparti!
Mais hélas, toutes les bonnes choses ont une fin, et vendredi après-midi,
il a fallu remettre le cap sur nantes, pour aller bosser le lundi... :-(
Voilà, et pour finir je tiens à remercier tous ceux qui ont participer
de près ou de loin à cette aventure, et vivement l'année
prochaine!!!
A+ et bon vent
Fredy